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alimentation pour diminuer le testosterone

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Testostérone : Définition, rôle et taux chez l’homme et la femme

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Testostérone Wikipédia

Il semble diminuer le risque d’infarctus du myocarde ainsi que la mortalité globale[65]. L’effet psychologique d’une victoire, même si l’homme ne participe pas physiquement, a été démontré[33]. De plus, la proportion de lipides, glucides (en tant que source d’énergie) et protéines consommée a une influence.

L’objectif est de combler le déficit hormonal, mais surtout de corriger les symptômes ayant entraîné la prescription d’un dosage. La supplémentation hormonale augmente le désir sexuel, la réussite des rapports, la satisfaction sexuelle ainsi que le nombre d’érections nocturnes. Les résultats tendent toutefois à diminuer avec le temps malgré un taux de testostérone constant[59]. Dans tous les cas, le bénéfice reste modeste[61] et ne potentialise pas l’action du sildénafil[62]. Plusieurs études ont démontré que des pesticides dans l’agriculture intensive, en plus de produits chimiques dans la vie moderne, ont contribué à la baisse générale des niveaux de testostérone[28] (et de la fertilité masculine) mondiale. Une étude démontre que les hommes avec les concentrations les plus élevées de pesticides dans leurs corps avaient 10 % moins de testostérone que ceux avec les moindres concentrations[29]. Une étude britannique a trouvé que 30 sur 37 pesticides examinés sont capables de perturber le flux hormonal mâle[30].

Les valeurs normales du taux de testostérone sont fonctions du sexe et de l’âge. Chez l’homme, un dosage peut être prescrit pour rechercher un dysfonctionnement des testicules ou de l’hypophyse, notamment en présence de signes comme des troubles de la libido et des problèmes sexuels comme des troubles de l’érection. En présence de tels symptômes, une prise de sang avec dosage de la testostérone totale peut être réalisée. Pendant plusieurs décennies, le cancer de la prostate était en lien avec un excès de testostérone. Aujourd’hui, cette croyance traditionnelle est réévaluée par les scientifiques, au regard des connaissances actuelles. En effet, selon une équipe de chercheurs Suisses, aucune étude n’est parvenue à démontrer qu’une augmentation du niveau de cette hormone entraînait une augmentation de l’incidence du cancer de la prostate. L’impact de la testostérone sur l’agressivité du cancer de la prostate est débattu.

À noter également que les résultats peuvent varier d’un laboratoire à l’autre. Parlez-en toujours à votre médecin avant de commencer un traitement à la testostérone. Si la supplémentation de testostérone présente de nombreux avantages, elle comporte également des effets secondaires et des risques. Les hommes ayant des concentrations salivaires plus élevées de testostérone sont plus régulièrement identifiés comme « masculins » mais pas systématiquement comme « attirants ».

Chez l’homme, elle est produite essentiellement par les cellules de Leydig situés dans les testicules. Une faible partie de cette “hormone mâle” est produite par les glandes surrénales (situées au-dessus de chacun des deux reins). Une étude suggère cependant qu’il n’y aurait pas de corrélation significative entre la testostérone et le désir sexuel (libido) chez l’homme mais une corrélation entre fréquence de masturbation et désir sexuel. Dans cette même étude, on a observé que les femmes possédant un fort taux de testostérone sont moins intéressées par le sexe que les autres, mais sont davantage intéressées par la masturbation[40]. Comme la plupart des hormones, la testostérone est amenée aux tissus cibles par le sang, dans lequel elle est liée à des protéines plasmatiques de transport spécifiques, la globuline liant les hormones sexuelles (SHBG), la transcortine (CBG) et l’albumine sérique[12]. Seules la testostérone libre et la testostérone liée à l’albumine sont considérées comme étant biodisponibles (la part liée à l’albumine étant disponibles pour les cellules cibles)[12].

En 2017, c’était le 132e médicament le plus couramment prescrit aux États-Unis, avec plus de cinq millions d’ordonnances[81],[82]. La testostérone fait partie de la liste des médicaments essentiels de l’Organisation mondiale de la santé (liste mise à jour en avril 2013)[83]. Chez la femme, les boosters de testostérone les plus puissants effets sur l’axe gonadotrope sont l’hirsutisme, une pilosité faciale, une voix plus rauque, une hypertrophie clitoridienne, des troubles du cycle (oligoménorrhée ou aménorrhée), atrophie mammaire et calvitie de type masculine[71].

Il existe un équilibre entre la fraction de testostérone fixée sur la SHBG et la fraction libre. Par ailleurs, en cas d’un faible taux de testostérone pendant l’adolescence, les garçons peuvent ne pas développer pleinement les caractéristiques masculines telles que la pilosité faciale et la mue de la voix. La testostérone est intimement liée à la sexualité et à la virilité masculine. En effet, cette hormone androgène influence grandement le désir, l’excitation et la fonction sexuels chez l’homme. Lors du vieillissement, la sécrétion de testostérone par les cellules de Leydig se réduit.

C’est à ce moment que la voix change, que les épaules s’agrandissent et que les traits du visage deviennent plus masculins. En règle générale, les taux de testostérone dans le sang sont plus élevés pendant la période allant de l’adolescence au début de l’âge adulte. Autrement, vous pouvez vous référer aux tableaux suivants qui indiquent les niveaux sains de testostérone dans l’organisme selon l’âge. Nous rappelons que ces indications peuvent varier selon les individus, c’est la raison pour laquelle elles sont exprimées ici avec une fourchette de taux pour chaque tranche d’âge.

Elle peut être prescrite indépendamment du marqueur de genre du patient (1 ou 2 sur la carte vitale)[58]. Chez le rat mâle, le comportement sexuel dépend du niveau de testostérone. Chez les mammifères, la testostérone est sécrétée essentiellement par les gonades, c’est-à-dire les testicules des mâles et, à un moindre degré, les ovaires des femelles. Bien que couramment appelée hormone mâle, elle est aussi celle qui est la plus présente chez les femmes[4].